Vendredi , 18 octobre 2024
Dernières nouvelles
Accueil > Non classé > Palmares du Bobard de Platine

Palmares du Bobard de Platine

 <BOBARD de PLATINE > pour Jacky REY, Patricia FOURCAUD ainsi que les membres du  Comité de rédaction

En cette fin d’année, les récompenses pleuvent : Prix Nobel, Prix littéraires  Goncourt, Renaudot, Fémina, Ballon d’Or,  etc.

La cérémonie (parodique) du BOBARD de PLATINE couronne un  énorme mensonge, une messorgue comme dit  dans le midi.  Nous aurions pu en citer d’autres tant nous en avons sous le coude.

Elle distingue Jacky REY, Maire, Directeur de Publication du Journal d’Aigues-Vives, ainsi que Patricia FOURCAUD auteur de l’article paru dans le Journal d’Aigues-Vives en juin 2012 ainsi que les 7 autres membres du Comité de rédaction du journal communal.

DCAV revient  sur cette affaire pour détricoter un des plus gros mensonges de  la municipalité d’Aigues-Vives.

DCAV ne pouvait laisser passer la révélation de la Chambre régionale des Comptes sur l’affaire du DGS Monsieur L. B. soi-disant parti en retraite en 2012 et à décidé de démasquer les « BOBARD-EURS » politiques Aigues-Vivois.

Car les mensonges de nos responsables politiques ne sont possibles que par la complicité des médias, en l’occurrence, dans cette histoire, le leur : le Journal d’Aigues-Vives.

Le rapport de la CRC sur la gestion communale est détonnant. Impossible de s’y dérober ou de traficoter la présentation définitive du rapport lors du conseil du 21 juillet 2021.

Page 27 du rapport de la Chambre des Comptes constate  : Durant la période contrôlée < trois fonctionnaires ont successivement occupé l’emploi fonctionnel de DGS créé en 2008, et un quatrième a été rémunéré par la commune durant quarante-huit mois au titre d’ un congé spécial accordé en juin 2012. Lors d’un  congé spécial accordé à un ancien directeur général des services, la loi prévoit des règles spécifiques en faveur des fonctionnaires détachés sur un emploi fonctionnel de direction lorsqu’il est mis fin à ce détachement par l’autorité territoriale. Faute d’emploi vacant correspondant à son grade au sein de la collectivité, le fonctionnaire concerné doit choisir entre un reclassement, un licenciement assorti d’une indemnité ou un congé spécial de droit d’une durée maximale de cinq ans, sous réserve de remplir certaines conditions d’ancienneté. Pendant un congé spécial, la rémunération du fonctionnaire demeure à la charge de la collectivité concernée jusqu’à sa mise à la retraite> .

C’est au titre de ces dispositions que le DGS, M. B… en poste depuis le 1er août 2008 a été admis au bénéfice d’un congé spécial à compter du mois de juillet 2012, lorsque l’ordonnateur qui l’avait nommé a mis fin à ses fonctions. Ce fonctionnaire a été mis à la retraite à compter du 1er juillet 2016. La réglementation en vigueur, lors de l’octroi de ce congé, prévoyait que la rémunération devait être déterminée par rapport à l’indice d1étenu par l’agent concerné dans son cadre d’emploi, et non par l’indice détenu dans son dernier emploi fonctionnel. Or la chambre constate qu’il ressort des termes mêmes de l’arrêté pris par le maire pour placer l’intéressé en congé spécial, ainsi que des données de paie, que ce dernier a été rémunéré selon l’indice majoré 673 correspondant, non pas à son grade d’attaché territorial 10e échelon, indice majoré 584, mais à son dernier emploi fonctionnel de directeur général des services d’une commune de 2 à 10 000 habitants, ce qui a contribué à accroître la charge financière supportée par la commune.

Le coût de ce congé spécial peut être évalué à 209 000€ sur sa durée totale de 48 mois, charges patronales comprises, pour la commune d’Aigues-Vives. La chambre relève que si l’ordonnateur avait appliqué la réglementation en retenant l’indice majoré 584 pour le calcul du traitement versé pendant le congé, il aurait fait économiser à la commune près de 20 000€. Coût total de l’opération pour les contribuables 229 000€ afin d’accompagner le départ d’un DGS expérimenté (peut-être trop ?).

Ce DGS gênait-il l’exécutif local ? N’était-il pas assez malléable ?

LE PLUS COCCASSE, comme le constate la CRC, <ce fonctionnaire n’ à pris sa retraite que le 1er juillet 2016>. Le Journal municipal de juin 2012, dont Jacky REY  est le Directeur de publication, annonçait  dans un article signé par Patricia  FOURCAUD sur deux pages à grand renfort de louanges < le départ de ce DGS à la retraite>. Que voilà un BOBARD de PLATINE ! Quatre fois le mot à la retraite est utilisé. Le départ en « congé spécial » accordé aux frais des contribuables est totalement passé sous silence. Il est tragique de devoir constater que l’information locale est faite d’une façon qui empêche les Aigues-Vivois de connaître ce qui se cache derrière cette décision.

Il y a plusieurs manières de travestir la réalité quant on à la tête d’une municipalité. On peut mentir, cap qu’a allègrement franchi Patricia FOURCAUD, on peut passer sous silence des sujets ou taire des vérités. On peut aussi focaliser les projecteurs sur des sujets secondaires, par choix idéologique, et négliger l’essentiel.

Camouflages qui ont permis de reconduire cette équipe dans ses fonctions. Le traitement de l’information locale  par la municipalité  est scandaleux et frôle souvent la désinformation. Elle  est indigne d’une société démocratique. La démocratie est la possibilité de choisir en toute connaissance de cause. Ce n’est pas la première fois que la municipalité joue avec les finances des Aigues-Vivois. Il y a peu de temps, les taux zéro, voire négatifs, auraient dû faciliter les renégociations des emprunts.  Que nenni ! Jacky REY  adoubé de Magali PRADEILLE, 1re adjointe, Vice-présidente de la commission des Finances, ne cessait de rassurer sur  la bonne gestion. Tous les deux tenaient d’une main ferme et sûre les finances d’Aigues-Vives. Ils avaient le verbe haut et pointu : aucun souci à se faire, allant même avec un «toupet hors du commun» accorder la note 3 A à leur propre gestion.

Un conseil municipal n’a pas le droit de se comporter comme un dilapideur d’argent public. Il doit être le protecteur de ses contribuables.

Ainsi va, cahin -caha, la gestion de la municipalité d’Aigues-Vives.

Aux contribuables d’apprécier !!!!

 

 

 

 

 

Répondre

Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués d'une étoile *

*

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>